CHANTIER TESTS


CHANTIER - TESTS


FEUILLE DE ROUTE

vers la sobriété numérique


TESTS d'insertion des pages PDF de notre document... ou des Word

Je reviens sur mon avis partagé sur WhatsApp :


il faut que j'en reste à l'insertion des pages en PDF

car l'interface utilisée ne digère pas les notes de bas de page.
Même en "bricolant", le résultat serait désastreux.


J'en reste donc au simple renvoi à un fichier PDF. Pas obligatoirement téléchargeable.

Il devient lisible après un simple clic.
Vous pouvez tester ci-dessous.
Même sur smartphone, c'est sympa.   


Ici le TEXTE D'INTRO


2 - La consommation récréative du numérique

Seul le lien 2 (ci-dessus) est cliquable pour l'instant. Testez !


Je précise que cette page "CHANTIER - TESTS" ne figure pas dans les menus du site

et ne peut donc être trouvée par qui que ce soit.
Uniquement accessible pour vous et moi en partant du

lien ci-après : https://www.lenumerique-parlons-en.fr/chantier-tests


Cette consommation est astronomique. Beaucoup d’enfants, d’ado et d’adultes perdent pied dans leur dépendance aux écrans. Cette réalité n’est plus à démontrer et de nombreux auteurs aujourd’hui s’en font l’écho avec des titres d’ouvrages très évocateurs (Cf. Annexe 3). Mais au-delà des livres, il y a aussi le constat que nous faisons quotidiennement : « Monsieur Hoareau, vous parlez beaucoup du numérique. Mais très concrètement, que devons-nous faire avec notre enfant de 12 ans qui passe 9 heures par jour scotché sur son téléphone ? »

 

C’est une question que nous entendons de plus en plus souvent. Les parents sont désemparés et malheureusement ne savent pas à qui s’adresser pour être aidés. Il y a bien ici ou là des initiatives très intéressantes qui cherchent à apporter des réponses concrètes à cette surconsommation d’écrans, mais elles ne sont pas à la mesure de l’ampleur du phénomène auquel nous faisons face. 

La pyramide de Maslow revisitée

Avant de détailler la consommation récréative par tranches d’âges, commençons par quelques remarques préliminaires qui vont éclairer notre réflexion. 

Six à sept heures de connexions quotidiennes (temps de consommation moyen des adolescents de 18 ans et plus selon des études très sérieuses), représentent 2200 à 2500 heures par an, soit 100 jours de l’année rivés sur son smartphone. Ces milliers d’heures correspondent aussi à 2,5 années scolaires ou encore à la totalité du temps consacré de la 6ème  à la terminale - pour un élève de filière scientifique - à l’enseignement du français, des mathématiques et des sciences et vie de la Terre. Les journées étant limitées, ce sont bien d’autres occupations légitimes qui sont sacrifiées sur l’autel du numérique.

Le smartphone est ainsi devenu le prolongement de notre être physique et psychologique, un véritable doudou fusionnel, du métro au dodo ! Il est omniprésent dans la rue, le métro, le train, l’avion, en voiture, à table, dans le lit, au restaurant, en vacances, dans la salle de culte, etc. Nous éprouvons un besoin irrépressible de le

Cette consommation est astronomique. Beaucoup d’enfants, d’ado et d’adultes perdent pied dans leur dépendance aux écrans. Cette réalité n’est plus à démontrer et de nombreux auteurs aujourd’hui s’en font l’écho avec des titres d’ouvrages très évocateurs (Cf. Annexe 3). Mais au-delà des livres, il y a aussi le constat que nous faisons quotidiennement : « Monsieur Hoareau, vous parlez beaucoup du numérique. Mais très concrètement, que devons-nous faire avec notre enfant de 12 ans qui passe 9 heures par jour scotché sur son téléphone ? »

 

C’est une question que nous entendons de plus en plus souvent. Les parents sont désemparés et malheureusement ne savent pas à qui s’adresser pour être aidés. Il y a bien ici ou là des initiatives très intéressantes qui cherchent à apporter des réponses concrètes à cette surconsommation d’écrans, mais elles ne sont pas à la mesure de l’ampleur du phénomène auquel nous faisons face. 

La pyramide de Maslow revisitée

Avant de détailler la consommation récréative par tranches d’âges, commençons par quelques remarques préliminaires qui vont éclairer notre réflexion. 

Six à sept heures de connexions quotidiennes (temps de consommation moyen des adolescents de 18 ans et plus selon des études très sérieuses), représentent 2200 à 2500 heures par an, soit 100 jours de l’année rivés sur son smartphone. Ces milliers d’heures correspondent aussi à 2,5 années scolaires ou encore à la totalité du temps consacré de la 6ème  à la terminale - pour un élève de filière scientifique - à l’enseignement du français, des mathématiques et des sciences et vie de la Terre. Les journées étant limitées, ce sont bien d’autres occupations légitimes qui sont sacrifiées sur l’autel du numérique.

Le smartphone est ainsi devenu le prolongement de notre être physique et psychologique, un véritable doudou fusionnel, du métro au dodo ! Il est omniprésent dans la rue, le métro, le train, l’avion, en voiture, à table, dans le lit, au restaurant, en vacances, dans la salle de culte, etc. Nous éprouvons un besoin irrépressible de le


Share by: